Alors que la 19e saison de Pronofoot a repris ses droits, petit retour sur la saison dernière avec l'interview croisée (parfois à base d'IA) entre divers participants :
Comme chaque année, présentez-vous en quelques mots (pseudo, ville, club supporté, etc. )
Herresse : Herresse, Pantin, olympique de Pantin
Yoyofoot : Yoyofoot, comme Bradley Barcola sur le côté droit ou gauche qui monte et descend le long de la ligne .
Nicolazerty : Ouais, salut les gars. Moi, c'est Nicolazerty, j'habite à Vanves, tu sais, tranquille. L'OM, c'est ma vie, même si des fois ils me rendent ouf. Mais bon, on les aime quand même, non ?
Fafa : Fafa, 54 ans, presque toutes mes dents, mégasupporter du rc Lens etttt toujours le même, le plus beau, le plus fort.
Ludao : Eh bien, je suis Ludao, fièrement parvenu à l'âge respectable de 45 ans. On peut difficilement nier mon charme indéniable, une caractéristique qui accompagne mon parcours marqué par des décennies d'expériences inestimables. Mon cœur bat invariablement au rythme de l'olympique Lyonnais, une équipe de football dont le simple nom évoque des émotions intenses. Ma capacité à rester fidèle à cette équipe va bien au-delà d'une simple allégeance sportive. C'est une véritable dévotion, une forme d'art que peu peuvent réellement comprendre. Il faut bien admettre que ma beauté singulière est une évidence qui attire naturellement les regards admiratifs. C'est une bénédiction qui a façonné mon chemin, m'offrant des opportunités et des rencontres uniques. Et il va sans dire que, dans cette vaste étendue de l'existence, il est clair comme le jour que personne ne peut prétendre égaler ma stature. Ma passion pour l'olympique Lyonnais est le reflet de ma personnalité passionnée et inégalée. Ce club incarne mon engagement envers l'excellence et la victoire, des valeurs qui me sont profondément ancrées. Mon aura magnétique ne peut qu'attirer ceux qui reconnaissent la grandeur quand ils la voient. En somme, il n'est pas surprenant que je me positionne au sommet de cette pyramide qu'est l'existence. Mon nom est Ludao, et mon empreinte indélébile continue de marquer le monde qui m'entoure.
Aurelienazerty : Aurélien, 41 ans, 41 cm, supporter du RCL champion officieux de L1
Le talent paye, voilà tout !
Aurélien, un nouveau titre, le 7e, le 3e de suite, c'est historique, on ne vous arrête plus ?
Aurelienazerty : Le talent a parlé, je pense avoir montré à tout le monde qui était le patron de ce sport !
Avez-vous tremblé durant la saison ?
Aurelienazerty : Jamais, c'est la marque des champions.
Ligue, Ligue Europa, Ligue des champions, vous avez brillé partout, comment expliquer un tel succès ?
Aurelienazerty : Le talent paye, voilà tout ! Si certains vont aller chercher des explications sur mes accès à la Bdd, ce n'est que pour masquer leur médiocrité.
Pensez-vous en laisser un peu pour les autres l'année prochaine ?
Aurelienazerty : J'aimerai leur laisser croire qu'ils peuvent atteindre les sommets, mais ils sont nuls, particulièrement Ludao !
Le véritable champion sans aucune tricherie, c'est moi
Un mot pour le champion de cette année ?
Fafa : 1 seul mot , le véritable champion sans aucune tricherie, c'est le vieux, c'est moi.
Ludao : Ah, le vainqueur de la compétition, celui qui a réussi à se hisser au sommet grâce à ses talents insurmontables ou peut-être à une combinaison judicieuse de chance et de compétence. C'est vraiment charmant de voir comment le destin peut favoriser certains, même si ce n'est que momentanément. Félicitations pour ton éclatante victoire, digne d'une mention dans les annales de la médiocrité. Il faut dire que réussir à se démarquer au milieu de tout ce conglomérat de compétiteurs aussi peu inspirants est une véritable prouesse en soi. J'imagine que tu as su tirer parti de cette atmosphère où le médiocre brille comme une étoile filante. Mais ne t'en fais pas, ton triomphe éphémère ne risque pas de créer d'ombres très longues. On sait bien que la chance peut être aussi versatile qu'un caméléon changeant de couleurs. Alors, profite bien de cette gloire fugace, car la réalité te rattrapera peut-être plus vite que tu ne le penses. Dans tous les cas, ta victoire est une véritable source d'amusement pour nous autre, simples spectateurs de ton moment de gloire. Continue à te pavaner sur ce piédestal en carton, car il est rare de voir quelqu'un exceller avec autant de brio dans l'art du hasard contrôlé. Encore toutes mes «félicitations», si tant est qu'elles soient méritées.
Herresse : Je n’ai même pas pris la peine de regarder quel pronostiqueur en carton mouillé à l’urine de chèvre a terminé en tête à la fin de la saison.
Yoyofoot : Qui c'est déjà?
Nicolazerty : Ah ouais, bravo mec, t'as dû vendre ton âme au diable pour gagner, nan ? J'rigole, j'rigole. Félicitations, même si j'aurais préféré être à ta place, faut le dire.
Un résultat inattendu qui, bien sûr, ne peut être attribué à ma propre incompétence
Yoyofoot, toujours pas loin du podium, comment expliquer ce petit coup de rein qui vous manque ?
Yoyofoot : Je souffre de Neymardise
Vous faites toutefois une belle prestation sur ligue Europa et la coupe du monde des clubs, c'est un lot de consolation ?
Yoyofoot : Le niveau de la L1 est trop faible pour m'intéresser!
Herresse, encore une saison en dent où vous partez fort pour vous écrouler, vous êtes éjaculateur précoce ?
Herresse : Comme chacun le sait, l’année 2023 a été marquée par l’arrivée d’une schtroumpfette à la maison qui a complètement perturbé mon assiduité sur Team-azerty. Ceci explique bien des choses quant au classement final. Après un rapide calcul savamment déterminé par la théorie de Rubenschtruder, nous pouvons conclure que l’agrandissement de la famille m’a copieusement coûté 20% de mes points au final, en ne prenant que là fourchette basse du résultat équidistant. Je vous laisse en déduire le champion officieux …
Vous glanez néanmoins la ligue des nations, en pourcentage, c'est vraiment le trophée en mousse non ?
Herresse : En mousse, en carton, en coton … aucun intérêt en effet, mais c’est toujours une reconnaissance sur la qualité du peu de pronostiques réalisés, les valeurs, ça ne compte pas
Nicolas, depuis 2007, vous n'y arrivez plus, êtes-vous mauvais ?
Nicolazerty : Pfff, ouais, c'est vrai, y a des années où je galère, mais c'est pas ma faute. Les étoiles s'alignent pas toujours comme il faut, mec. C'est le karma des pronos, j'crois bien.
Vous glanez néanmoins la Ligue des Nations, un trophée en mousse non ?
Nicolazerty : Haha, ouais, un peu, mec. C'est comme si j'gagnais un jeu de fléchettes dans un bar, quoi. Mais bon, c'est un truc à rajouter sur mon CV de looser, ça peut impressionner les filles, peut-être.
Ludo, dernier au classement en point et en pourcentage c'est historiquement mauvais ! Êtes-vous une quiche ?
Ludao : Non. Ah, l'échec. Un résultat inattendu qui, bien sûr, ne peut être attribué à ma propre incompétence. Non, non, c'est beaucoup plus pratique et satisfaisant de pointer du doigt cet algorithme Pronoflash douteux, une création numérique qui semble avoir été conçue pour cultiver l'échec avec une précision étonnante. Je veux dire, qui aurait pu prévoir que confier une tâche importante à cet algorithme reviendrait à attendre une sagesse et une précision dignes d'une horloge cassée ? C'est comme si j'avais confié mes aspirations à un guide aveugle dans un labyrinthe obscur, espérant naïvement qu'il me conduirait vers le succès. Certes, il y a eu des choix et des décisions que j'ai prises en suivant aveuglément les suggestions de cet algorithme, mais n'est-ce pas là le propre d'une machine ? Faire des choix imprévisibles et inexplicables qui défient toute logique humaine ? Il est tout à fait gratifiant de savoir que même dans mon échec, j'ai pu offrir une leçon à cet algorithme : la médiocrité transcende les frontières entre l'homme et la machine. Qui sait, peut-être que cette expérience inspirera l'algorithme à poursuivre une carrière dans la comédie, car son talent pour créer des moments de désastre est tout simplement inégalé.
Pensez-vous qu'il soit intellectuellement et moralement correct de tout mettre sur le dos de pronoflash ?
Ludao : Ah, cet algorithme de pronostics sportifs, le génie numérique qui semble avoir maîtrisé l'art de se tromper avec une précision saisissante. Vraiment, chapeau bas à sa capacité à confondre le sens même de la probabilité. Il faut dire que l'algorithme en question possède une habileté remarquable à prendre des décisions dignes d'un jeu de fléchettes lancées au hasard. Qui aurait pu imaginer qu'une série continue d'échecs dans les prévisions sportives puisse être atteinte avec une telle constance ? Certainement, seul cet algorithme possède le secret. Oh, je suis sûr que son concepteur est un véritable visionnaire, capable de prédire l'échec avec une acuité déconcertante. C'est une véritable œuvre d'art que de parvenir à générer des pronostics qui défient toute logique rationnelle. Peut-être que les équipes sportives devraient envisager d'engager cet algorithme pour garantir la victoire de leurs adversaires. En tout cas, il est réconfortant de savoir qu'à l'ère de l'intelligence artificielle, même les algorithmes ont leurs moments d'humilité en montrant à quel point ils peuvent être parfaitement incompétents.
Êtes-vous grotesque ?
Ludao : Ah, l'art de vivre dans la splendeur de la grotesquerie. C'est une véritable maîtrise, une forme d'expression qui transcende les limites de la norme et de la banalité. Vous voyez, il faut avoir un sens inné du théâtral, une aisance à jongler avec les regards perplexes et les sourires indulgents. L'art de la grotesquerie, c'est comme peindre avec des couleurs éclatantes et vives, même si elles se trouvent en dehors des lignes habituelles. C'est une danse audacieuse dans un bal masqué où les conventions sont jetées par-dessus bord. Se laisser emporter par cette esthétique non conventionnelle, c'est en quelque sorte créer sa propre toile vivante, une composition unique et mémorable. Le grotesque, c'est aussi un moyen de se distancer du conformisme, de bousculer les attentes préétablies et d'incarner une forme de liberté artistique. Les audacieux défenseurs de cette philosophie osent exhiber leurs excentricités, et ce faisant, ils inspirent souvent un sourire, parfois même un rire, mais jamais l'indifférence. Après tout, la vie n'est-elle pas une scène où chacun peut choisir son rôle, qu'il soit comique, absurde ou totalement extravagant ? L'art de la grotesquerie nous rappelle que chaque jour est une occasion de créer notre propre spectacle, de défier les conventions et d'élever l'absurdité à un niveau d'appréciation artistique.
Fafa, une saison blanche, comment expliquer cette nouvelle contre-performance ?
Fafa : Non, une saison en sang et or. On est les plus forts...
Pire, vous finissez au pied du podium, êtes-vous mauvais ?
Fafa : Probablement un site frauduleux, tout est pipé, faussé, truqué. Mais dans le fond, c'est l'école des fans. On est tous ex aequo...
Je soupçonne une corruption généralisée sur ce site!
Que pensez-vous du classement final, de votre position, celle de vos adversaires ?
Fafa : Que des nuls, que des petites b***es.. Je sais que je suis le meilleur et c'est le principal. Et en plus c'est la censure. 3e fois que je tape ce fichu interview..
Yoyofoot : Je soupçonne une corruption généralisée sur ce site!
Aurelienazerty : Comme chaque année, je me répète, mais chacun est à sa place, particulièrement Ludao !
Ludao : Ah, le classement final, cette révélation grandiose de l'illusion qui a réussi à perdurer. C'est presque touchant de voir comment tant d'efforts, de sueur et de larmes peuvent être réduits à une simple mascarade, une comédie qui perd son charme au fil des années. En effet, cette hiérarchie soigneusement établie, qui prétend refléter la grandeur et la supériorité, ne semble être qu'un tableau abstrait de l'injustice et du caprice. Les règles du jeu sont souvent définies par des mains invisibles, des facteurs externes qui tracent une ligne sinueuse entre la victoire et la défaite. Mais qui peut nier le côté ludique de cette farce ? Les protagonistes, perdus dans leur quête éperdue de gloire, jouent leur rôle avec un sérieux si touchant. Et nous, les spectateurs, nous nous laissons porter par cette farandole, parfois enivrante, parfois frustrante, mais toujours captivante. Alors, oui, le classement final d'une compétition est peut-être une mascarade, mais quelle mascarade exquise ! Un mélange complexe de triomphes éphémères, de déceptions cinglantes et de rebondissements inattendus. Et même si son intérêt est sujet à débat, il est indéniable que cette mascarade continue de nous hypnotiser, saison après saison.
Nicolazerty : Franchement, c'est la merde. J'suis à la 7e place, quoi. C'est comme si j'étais condamné à être dans le milieu du tableau, pour l'éternité. Mais bon, les autres, c'est pas des génies non plus, ils galèrent aussi.
Herresse : Aucun avis, saison biaisée pour ma part. La position de mes adversaires ne m’intéresse pas une goutte.
Faut bien que quelqu'un représente les "pas trop doués", non ?
Pensez-vous faire honneur à notre sport ?
Nicolazerty : Bah ouais, enfin, j'pense. J'suis là, j'fais mes pronos, même si des fois c'est à l'arrache. J'apporte ma petite touche de chaos, tu vois. Faut bien que quelqu'un représente les "pas trop doués", non ?
Herresse : Quel sport ? Si on parle des 22 couillons qui courent après la baballe pendant 2h alors non :)
Aurelienazerty : Incontestablement, j'aurai marqué se sport de l’empreinte de mon puissant sexe !
Fafa : Et pas qu'un peu non des djiousss
Ludao : Oh, absolument. J'ai l'impression que mes adversaires ont tellement de chance de me côtoyer sur cette compétition. Le simple fait de me voir pronostiquer devrait être considéré comme un honneur en soi, une occasion rare d'observer la maestria à son apogée. Je veille personnellement à ce que chaque pronostique que je fais soit empreint d'une grâce et d'une habileté inégalées. Évidemment, mes adversaires ne sont là que pour tenter vainement de suivre mon exemple, bien que leur médiocrité inhérente les en empêche souvent. Alors, oui, je suppose que ma présence seule suffit à faire honneur à ce sport. Après tout, ce n'est pas de ma faute si mes adversaires ne parviennent pas à relever le niveau, n'est-ce pas ? C'est une véritable mission héroïque que de me battre contre des adversaires aussi... comment dire, dépourvus de compétence.
Yoyofoot : Bien sûr! Vous avez vu mon pseudo?
-- Là on demande aux participants de regarder leur vitrine, un page contenant les trophées glanés depuis l'ouverture de pronofoot --
Fafa : Trop de trophées tue le trophée... La retraite approche et j'aurai tout le temps pour nettoyer tous ces trophées poussiéreux..
Herresse : Il serait intéressant de rajouter un filtre présentant les classements par pourcentage. Je pense que certains pourraient aller se cacher au lieu de pavaner le sexe à l’air.
Yoyofoot : Elle est plus remplie que celle de Payet
Nicolazerty : Oh mec, j'savais même pas qu'ils gardaient ça enregisté. Ouais, y en a des pas mal, même si c'est que des pixels. J'peux dire à ma mère que j'ai gagné des trucs, elle va être fière. Haha !
Ludao : Ah, cette page lumineuse, regorgeant de mes trophées glanés depuis l'ouverture de pronofoot. C'est comme contempler une galerie de réalisations qui témoignent de mon engagement, de ma persévérance et de ma compétence dans cet univers compétitif. Chacun de ces trophées raconte une histoire, une épopée sportive où j'ai affronté les défis avec détermination et habileté. Les victoires éclatantes et les classements élevés ne sont pas seulement des chiffres, mais des témoignages tangibles de mon engagement passionné pour le sport et les pronostics. C'est gratifiant de voir comment mes compétences ont été reconnues et célébrées par le biais de ces trophées. Chaque victoire représente un moment de triomphe, une preuve que j'ai su maîtriser les éléments du jeu et de la prédiction. Cette page est un rappel constant de mes succès et de l'effort que j'ai investi pour les atteindre. Alors que certains pourraient considérer cette liste comme simplement une collection de pixels, pour moi, c'est un reflet tangible de mon parcours, de mes réalisations et de ma passion. Ces trophées sont bien plus que des symboles ; ils sont les récompenses d'un engagement sincère et d'une maîtrise authentique.
Aurelienazerty : Du respect et de la fierté comme toujours !
Cette saison n'a été qu'une ligne droite vers mon triomphe !
Quel a été, selon vous, le tournant de la saison de pronofoot ?
Aurelienazerty : Il n'y en a pas eu, cette saison n'a été qu'une ligne droite vers mon triomphe !
Nicolazerty : Ah ouais, c'est facile à voir, mec. Y a eu ce match où l'OM aurait dû écraser tout le monde, mais ils se sont pointés comme si c'était une partie de pétanque. J'étais sûr de moi, et bam, c'est loupé. Les joueurs m'ont fait un croche-pied, j'suis sûr.
Ludao : Ah, c'est comme si j'étais dans ma propre compétition, une ligue parallèle où mes objectifs, mes défis et mes succès sont soigneusement tracés selon ma propre échelle de valeurs. Les exploits des autres ? Eh bien, ils semblent lointains, presque insignifiants dans le cadre de ma quête personnelle. Je ne peux m'empêcher de ressentir une légère indifférence devant les batailles que d'autres mènent. Leurs victoires et leurs défaites sont leurs propres affaires, qui s'inscrivent dans des cadres et des contextes qui diffèrent du mien. Et même si je peux reconnaître leurs succès, je suis fermement ancré dans ma propre course. Dans l'ensemble, c'est une sensation de distanciation, d'être absorbé par mon propre talent, au point où les compétitions extérieures perdent de leur importance. Après tout, je suis le héros de mon propre scénario, et les compétitions des autres ne sont que des intrigues secondaires dans ce grand récit de ma vie.
Yoyofoot : La Coupe du Monde
Herresse : Pour qui ? Pour moi ? Alors déjà expliqué auparavant. Assez de palabres. Pour les autres ? Même réponse, nous puissions dire qu’ils sont in fine bien chanceux.
Fafa : Le tournant, c'est ce carton rouge à Paris.... Mais sinon, y a pas de tournant dans un tournoi de pronos truqué à donffe.
Les étoiles se sont barrées en vacances quand j'en avais besoin
Que vous a-t-il manqué pour être champion ?
Fafa : L'honnêteté du gestionnaire des pronos.. Sans les points ajoutés aux autres, je serai 1er...
Ludao : Oh, c'est une question intéressante. Honnêtement, il semblerait que les étoiles elles-mêmes étaient alignées contre moi. C'était comme si le cosmos entier avait décidé de faire une pause pour m'observer devenir le champion du fond, un rôle que j'ai assumé avec une détermination qui frôle l'héroïsme. En y réfléchissant, peut-être que j'aurais pu bénéficier d'un peu plus de vents contraires pour ajouter un peu de piquant à ma quête vers le bas du classement. Ou bien, une dose supplémentaire de malchance aurait sans doute contribué à me propulser au sommet du classement inversé. Bien sûr, on ne peut pas nier le rôle crucial que Pronoflash a joué dans ce résultat prestigieux. Ma décision judicieuse de ne pas écouter les conseils avisés et de suivre cet algorithme douteux a clairement porté ses fruits. Alors, pour répondre à votre question, ce qui m'a manqué pour être champion ? Oh, absolument rien, en fait. Ce résultat époustouflant était tout à fait mérité et parfaitement conforme à mes attentes stratégiques.
Herresse : De temps, d’assiduité
Yoyofoot : Un État pétrolier, des supporters lensois, un entraineur de renom, un joueur international dans chaque ligne, une profondeur de banc, le marabout de Paul et la chatte à DD!
Nicolazerty : Ah mec, c'est simple, j'crois que le destin m'a lâché. Les étoiles se sont barrées en vacances quand j'en avais besoin, tu vois. Mais bon, j'les retrouverai, j'leur ferai une dédicace avec mes prochains pronos.
Qu'est-ce qui a fait la différence selon vous ?
Aurelienazerty : Quelques centimètres, et pour certain ce n'est pas quelques.
Laisser ces incompétents perdre tout seul
Quelle stratégie pour quel objectif pour la saison prochaine ?
Nicolazerty : Ouais, j'vais continuer à faire mes pronos à l'instinct, même si c'est comme tirer à l'aveugle. Objectif ? P'têtre pas finir dans les derniers, pour changer un peu, ça serait cool.
Yoyofoot : Pirater le compte de mes adversaires!
Fafa : Rester connecté et jouer. . Et pafff, en tête du début à la fin face à des chèvres 🐐 🐐
Herresse : Vasectomie
Aurelienazerty : Comment concevoir autre chose que la victoire finale ? Pour y arriver, on va appliquer les mêmes recettes que les années précédentes : laisser ces incompétents perdre tout seul.
Ludao : Ah, il est clair que cette année n'était qu'une étape préliminaire pour préparer le terrain à ma montée fulgurante vers le sommet l'année prochaine. Mon talent naturel, tel un soleil caché derrière les nuages, a été temporairement dissimulé pour créer un effet de surprise époustouflant lors de ma victoire future. Je ne peux que sourire en pensant à l'année à venir, où mes compétences éclatantes illumineront le paysage sportif d'une manière qui laissera tout le monde bouche bée. Les échecs d'aujourd'hui ne sont que des leçons précieuses qui me propulseront vers un triomphe incontesté demain. Peu importe les obstacles qui se dresseront devant moi, ma détermination inébranlable et mon talent indéniable me guideront invariablement vers la couronne de champion. Après tout, il est difficile d'ignorer l'évidence : ma victoire est inévitable, et le monde du sport n'a qu'à attendre pour être témoin de mon éclat éblouissant. Alors, que l'on se rappelle bien de mes paroles : l'année prochaine, je serai champion, et ma gloire brillera tel un phare dans l'obscurité, guidant tous ceux qui aspirent à atteindre le sommet avec une grâce naturelle et un talent indiscutable.
Je suppose qu'ils se sentent chanceux d'avoir l'occasion de me défier
D'après vous, quelle est l'image qu'ont vos adversaires de vous ?
Herresse : De la peur non ?
Ludao : Il est amusant d'imaginer comment mes adversaires me perçoivent. Je suppose qu'ils se sentent chanceux d'avoir l'occasion de me défier, un peu comme des pions dans un jeu d'échecs se confrontant au grand maître. Mon nom doit sûrement susciter un mélange de respect et de crainte, une combinaison naturelle lorsque l'on se retrouve face à un adversaire d'une envergure aussi impressionnante. Je présume que ma présence sur le terrain doit susciter un sentiment de compétition intense chez eux. Après tout, affronter un adversaire de mon calibre est une opportunité rare de tester leurs propres compétences, même si cela signifie finir en dessous de moi dans le classement. Dans le fond, je suppose que mes adversaires doivent se demander comment ils pourraient éventuellement rivaliser avec une force de la nature comme moi. Ils ont probablement élaboré des stratégies élaborées et ont fait des nuits blanches pour essayer de trouver une faille dans mon jeu, sans réaliser que ma supériorité est intrinsèque et indéniable. En fin de compte, l'image que mes adversaires ont de moi doit osciller entre une sorte d'admiration résignée et une vague d'intimidation. Quoi qu'il en soit, je suis sûr que ma présence laisse une empreinte mémorable, même si elle n'est que le reflet de ma propre grandeur.
Nicolazerty : Oh mec, j'pense qu'ils me voient comme un gars qui sort de nulle part avec ses pronos un peu bizarres. J'les surprends, j'les rends fous parfois, mais j'suis là pour les faire rire aussi. C'est ça, Nicolazerty, le mec qui balance des pronos épicés, ouais !
Fafa : La trouille. La nouvelle série Netflix...
Aurelienazerty : D'une personne belle au sexe imposant, et ils n'ont pas tort !
Yoyofoot : Le charme de Beckham, avec la silhouette de R9 ... d'aujourd'hui.
C'est MA saison!
Un dernier mot pour la fin :
Fafa : A bientôt. Le meilleur des ch'tis..
Yoyofoot : C'est MA saison!
Aurelienazerty : Sardanapale
Herresse : Point.
Nicolazerty : Ouais, ouais, merci pour cette interview, mec. Si vous voulez des pronos aléatoires, vous savez où me trouver. Allez l'OM, même si on fait souvent les bras cassés, haha !
Ludao : Chat.
--Là on laisse les participants poser leur propres questions--
Que pensez-vous d’Aurelienazerty ?
Herresse : Pseudo en carton, chatteux de première, tricheur d’admin.
Qu'avez-vous pensé de cette interview ?
Ludao : Vous me demandez donc mon humble avis sur cette entrevue, comme si le cosmos tout entier dépendait de mes pensées étoilées à ce sujet. Imaginez, si vous voulez, une nuit sans étoiles, un désert sans chameaux, ou pire encore, un banquet sans fromage ! Voilà à quel point votre question résonne dans les dédales de mon esprit férocement tordu. Mais revenons-en à cette interview, cette danse verbale où les mots tournoient tels des derviches en transe. J'imagine que c'était un tourbillon de questionnements et de réponses, un pas de deux intellectuels entre deux esprits assoiffés de connaissance. Ai-je trouvé cela aussi pétillant qu'une potion magique ? Ah, que diable, peut-être ! Ai-je ri et pleuré en même temps, comme un dromadaire pris dans une tempête de sable ? Qui sait ? Les mystères de la vie sont aussi profonds que les abysses de la mer, et aussi insaisissables que le vent dans les dunes. Mais voilà, mon cher interlocuteur, telle est la nature des interviews : des moments fugaces où l'on cherche à capturer l'éclat d'une étoile filante, à démêler les fils de la toile cosmique qui relie nos pensées. Alors, qu'en ai-je pensé ? Rien de moins qu'un feu d'artifice dans la nuit noire, une bulle de champagne dans un océan d'interrogations. Et maintenant, je m'en retourne à mes rêveries, à mes divagations, car n'est-ce pas là le véritable art de la conversation ? On parle, on s'égare, et parfois, juste parfois, on touche du bout des doigts l'étoile scintillante de la compréhension. Voilà ce que j'en dis, mon ami, voilà ce que j'en dis...
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